Warhammer: Ombres sur Bogenhafen, 2e partie

()Après une bonne nuit de sommeil, notre groupe s’est mis en route pour son expédition dans les égouts de la ville. Une patrouille nous a ouvert une grille et nous avons pénétré l’obscurité humide des souterrains. Après avoir visité quelques galeries, nous avons été surpris par une moisissure rouge qui a handicapé Otto pendant quelque temps, mais le reste de notre groupe a su réagir à temps pour éviter le pire. Un peu plus loin, nous avons affronté une créature étrange, comme composée de vase, mais grâce à une manoeuvre acrobatique du jeune magicien Vladimir, nous en somme facilement venus à bout. Ce n’est que plus loin que nous avons découvert une salle protégée par une grille.

Après qu’Elke ait pu la maintenir ouverte assez longtemps, nous avez tous pénétré à l’intérieur. Là, à la lueur de nos torches, une salle préparée pour une sorte de rituel nous a été dévoilée. D’un pentacle cerclé de fer, un nuage de fumée s’est bientôt formé, se constituant en un démon… Après avoir combattu et vaincu celui-ci, nous avons trouvé un mouchoir portant les initiales F.S., un couteau sacrificiel et un crâne cerclé lui aussi de fer, en plus d’une lettre signée Etelka Herzen évoquant un rituel obscur et envoyée depuis Grissenwald, dans les Crêtes Noires. Parmi les découvertes importantes, nous avons aussi mis la main sur les restes du gobelin à trois pattes que nous recherchions, réduit à l’état de squelette.

De retour à la surface, nous nous sommme rendus chez le juge Richter, au tribunal des fêtes, mais nous avons appris que le gobelin avait été retrouvé dans un entrepôt de la famille Steinhager. Y aurait-il plusieurs gobelins à trois pattes en ville ou tenterait-on de nous devancer ? Nous nous rendons à l’entrepôt en question et apprenons que le maître de la famille Steinhager s’appelle Franz (F.S.). Le gardien de l’entrepôt nous raconte son improbable victoire sur le gobelin et nous indique où trouver Franz Steinhager. Malheureusement, celui-ci ne daigne pas nous recevoir. Nous envisageons alors de l’attendre chez lui, lorsque nous sommes accostés par un certain Friederich Magirius, porte-parole de la guilde des marchands. Celui-ci nous invite à un repas à la Truite d’Or, pour évoquer notre affaire.

Là-bas, il se montre charmant, mais tente de nous expliquer que l’Ordo Septenarius, le nom inscrit sur le pentacle, n’est autre qu’une oeuvre de charité anonyme comptant quelques membres influents de la cité. Il accepte toutefois de faire part à Franz Steinhager de notre souhait de le rencontrer. Pendant ce temps, Elke Külnar rend de menus services au temple de Shallya et accède à un nouveau statut auprès de sa déesse. Elle accepte de venir en aide à Marlène, la grande prêtresse, à la soupe populaire dans le nord de la ville, en plein quartier pauvre. Là, elle fait la connaissance d’un illuminé qui semble être victime de visions apocalyptiques. Selon lui, Morrslieb, la lune du Chaos, a l’oeil braqué sur Bogenhafen et un danger sans précédent menace la ville. Cette vision est confirmée par une vision reçue en prière par Elke.

Le lendemain, nous somme reçus par Franz Steinhager, qui avoue à mots couverts faire partie d’une association pratiquant la magie noire. Il tente d’acheter notre silence. Nous subtilisons aussi un document marqué d’un pentacle et signé Johannes Teugen, un autre notable de la ville. A peine somme nous sortis de ses bureaux, les poches un peu plus remplies, que nous tombons sur Heinrich Steinhager, son frère. Celui-ci s’enquiert de notre démarche, nous révélant qu’il tente par tous les moyens de reprendre les affaires de la famille, ayant de sérieux doutes sur la probité de Franz. Nous devisons avec lui à l’Auberge du Dernier Voyage lorsqu’un courrier nous est envoyé par Friederich Magirius. Nous somme convoqués immédiatement chez lui, dans l’Adel Ring, le quartier noble de la ville. Heinrich nous informe qu’il va se rendre chez les Ruggbroder, une famille respectable(et j’ai eu l’occasion  de rencontrer la fille lors du tournoi d’il y a quelques jours!) issue de milieux modestes qui tente de remettre de l’ordre dans la noblesse locale.

Chez Magirius, nous somme reçus par un jeune homme qui nous indique le bureau du conseiller, mais nous flairons le piège et ne poussons pas la porte… Trop tard ! Le jeune homme a appelé la garde, nous accusant du meurtre de Magirius. Sûrs de notre bonne foi, nous attendons les gardes, mais ceux-ci, trouvant le corps égorgé du conseiller et l’arme du crime à proximité, ne peuvent que nous emmener à la caserne où nous somme écroués. Le capitaine de la garde nous explique qu’une enquête aura lieu, mais sans doute pas avant quelques jours, en raison du Schaffenfest. Je demande avec succès à faire amener Heinrich Steinhager. Elke, qui était retournée au temple chercher la missive d’Etelka Herzen, confiée à sa supérieure, nous y retrouve, du bon côté des barreaux. C’est alors qu’arrive Heinrich. IL promet de tout faire pour nous faire sortir de là. Pendant ce temps, informée par Elke, Marlène Rubenstern va mettre en branle son réseau d’information pour prévenir le baron Von Saponatheim et les autorités compétentes, c’est à dire les répurgateurs…

Suite au prochain épisode…

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